Mon chemin de vie

Mes voyages
symboliques

La conception que j’ai du coaching et la façon dont je le pratique découle de ma formation de coach (certifiée International Coaching Federation), de mon parcours professionnel, et aussi plus globalement de mon chemin sur cette terre parmi les humains. Je suis assez réservée quant à ma vie privée.

Cependant, les hauts et les bas des 50 années passées sont riches d’apprentissages qui me permettent beaucoup de compassion et l’envie de transmettre, tout en laissant l’autre libre de vivre son propre chemin en autonomie.

Le pays de la mauvaise pousse

Pour commencer, je suis née au Chili, dans un bidonville, de parents sans le sou et encore aux études. J’ai connu une guerre civile à l’âge de 2 ans et le chaos des séparations répétitives. Bon, c’était déjà parti rock ‘n roll… Arrivée en Belgique, j’ai eu ce que les psys appellent une « enfance traumatique ». J’ai poussé en quelque sorte comme la mauvaise herbe : très seule, et comme j’ai pu. Et il m’a fallu beaucoup de courage pour revisiter et cicatriser toutes ces plaies au fil du temps.

Le pays de la scolarité obligatoire

Je ne sais pas vous, mais moi j’ai détesté l’école et je n’ai pas non plus aimé l’université. Pourtant, j’ai deux masters. Ado, je me souviens avoir eu envie de tout plaquer. Et puis je me suis dit, que pour m’en sortir mieux valait avoir les passeports (nommés diplômes) requis par la société. La bonne nouvelle c’est que je participais à des ateliers créatifs pour enfants de réfugiés latino et ma sensibilité y puisait sa respiration.

Le pays du prince charmant

À 24 ans, je me suis mis en couple avec l’homme de ma vie. Dans la relation, j’ai trouvé de la sécurité, du lien, de la confiance. Ce qui m’a permis de me décider à devenir mère et pondre 2 exemplaires. Comme vous le savez, c’est à la fin du conte de fée que la princesse commence sa vraie histoire. La charge mentale, le sentiment d’être emprisonnée dans une logique qui ne me convenait pas m’ont montré la porte de la séparation à l’aube de mes 40 ans. Et apprendre à vivre en autonomie affective a été un énorme challenge pour moi.

Le pays de l’épuisement

J’ai traversé nombre de questionnements de SENS, avec 3 épuisements physiques et psychiques majeurs : un burnout parental et deux burnouts professionnels. Je ne vais pas vous mentir : il n’y a pas de mots pour décrire l’ampleur de cette douleur-là.

J’ai appris bien des choses ceci dit : il y a une limite à l’énergie, il est important de respecter mon corps car c’est ma maison, je ne peux pas « sauver » mes proches sans décharger la batterie, dire « oui » à l’autre alors que mon corps crie « non » est une stratégie dangereuse, j’ai des traits « hyper » (sensible, sensoriel, empathique…) dont je dois tenir compte pour préserver mon équilibre.

Le pays de la joie intérieure

Vous pourriez croire que le tableau ci-dessus est sombre. Rassurez-vous, au moins 50% du chemin est aussi composé de joies simples, moments d’intense bonheur, partages enrichissants, SENS chaque fois réinventé, gratitude d’expérimenter la vie…

J’intègre d’une façon ou d’une autre, tous ces apprentissages de vie dans ma pratique de coaching de vie et de business coaching en entreprise.

APPEL DÉCOUVERTE

Un parcours de coaching avec moi vous tente ?

Réservez un appel découverte (gratuit) d’environ 20 minutes via l’agenda, je vous écoute et répond aux éventuelles questions.

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